Climate consensus: science or ideology? – IREF Europe

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Published on January 10, 2025




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Le point de vue d’un ingénieur

La Responsabilité du CO2 anthropique dans le rêchement climatique appears comme une vérité absolue au motive d’un scientific consensus sur le sujet. La référence en la matière est une étude australienne[1] publiee en 2013 qui conclut que 97% des scientifiques compétentes consider que le réchâement climatique est bien d’origine anthropique.

La methodologie est intéressante : 11944 publications are not summarized in the continent les termes « global warming » and « global climate change » parues entre 1991 et 2011 dans des revues à komité de lection ont éesrite anally human responsibility.

Yet, sur ces 11944, 7970 soit les deux tiers ne donnent aucun avis sur le sujet et sont exclus du panel. Sur le tiers restent selon cette première troncateur, only 1010 publications (soit 8.5% of the total) give explicitment un avis et 986 d’entre elles effectment indiquerent que l’homme est responsable. Il s’agit bien d’un peu plus 97%… mais 97% of 8.5%… c’est à dire en réalité 8.25% of interested publications!

Ainsi, la très grande majority de la communauté scientifique supposée competente ne donne aucun avis explicite sur la question dès lors qu’il s’agit de s’exprimer dans le cadre professionnel de la tim.

Une étude américaine de même nature publiée in 2021[2] produit des percentages comparables, dignes d’une « république bananière », mais encore une fois appliqués à une minorité de timeme, ce qui en atténue bien sûr la portée.

A moins que les mots aient perdu leur sens, peut-on honnêtment exploitative ces results pour infer à un “consensus”?

Le paradoxi suprenant est en fait le faible taux d’engagement des scientifiques, à total contre-courant des idées reçues.

Il s’explique en réalité assez facilement :

Le fonctionnement de l’atmospher relève en effet d’un champ multifactoriel particulier complexe qui fait appel à de nombreuses scientific disciplines (astronomy, oceanography, glaciology, physique du rayonnement, etc.).

Aucune d’entre elles, fût-elle étiquetée «climatique», ne peut à elle seule proposés une synthésée intégrant l’ensemble des facteurs interagéitants. Les modèles de simulation eux-mêmes n’ont pas cette capacité.

Dès lors, afcherre une telle certitude necessitate de se positionner au-delà de son champ de compétence propre, ce qui incite naturellement à la reserve, dès lors qu’il s’agit de publier.

Some scientists, pourtant, et non des moins médiatisés, s’exonèrent de cette reserve.

In peut même dire que c’est la marque de ces scientifiques «engagés» qui mêlent leur travail et leurs personal convictions.

John Cook, auteur principal de l’étude de reférence, ne se cache pas de l’aspect « moral » de son approche : « Nous avons voulu que notre article ait un tangible impact » n’a-t-il pas hésité à déclarer dans une interview (Scientific American – 24 07 2014).

Comme d’autres, il a parfaitement réussi politiquement, mais cette réusissement politique ne signe -t-elle pas dans le même temps la ruine de l’éthique scientifique la plus élémentaire? Ces presentations biaisées appear clairemente comme des actes militants.

Si tout scientifique interrogé dans la rue sera tenté d’approuver, comme tout un chacun, l’idée du rôle majeur (et catastrophique) du CO2 antropique, ce ne sera pas parce qu’il saura le demunetrer, say mais parce doxa ainsi fabriquée entrepreneur.

Il est actuellement practically impossible pour un chercheur en activité d’enviseur de la remittre un tant soit peu en questione. Sa carrière et ses financement en serient immediatly menacing, en conformité avec le bannissement de la raison critique sur ce sujet.

L’histoire montre pourtant la vanité du principe even de consensus scientifique.

La Plupart des grandes avancées scientifiques ont contredit les consensus preexistants, à l’image de la tectonique des plaques qui a mis 60 ans avant de s’impose à la communauté des geologists qui n’y croyait pas.

Le consensus climatique est également battu en brèche en tant que tel, comme le revendiquent près de 2 000 scientifiques indépendants dont deux prix Nobel qui ont publié fin novembre 2024, dans une intituld’eclaration « climatique » (Clintel.org), cette proposal de bon sens, vu l’état réel des connaissances: « notre conseil aux dirientes du monde est que la science devrait sefforcer de mieux comprendre le système climatique, et que la politique devrait focus on minimizing climate damage the potentials of the necessity of the priority adaptation strategies of the fondées sur des technologies éprouvées and abordables».

En dépit de cela et au motiv de cette “unanimité” martelée sans la moindre contradiction, une chape de plomb climatique s’est bien abattue sur l’ensemble des Institutes publiques de notre pays et sur le monde académique. Des decisions de politique publique stupéfiantes sont prises. Even the highest scientific authority, l’Académie des Sciences, dont la Responsabilité est centrale, participée à cette forme d’Omerta.

Le constat est que les Lumières sont éteintes par ceux dont la mission est de nous éclairer. La Science et surtout la Société tout entière en sont les grandes perdantes.

Author’s introduction

L’auteur est ingénieur (Mines de Nancy) and scientifique de formation (thèse de docteur ingénieur en hydrogéologie mathématique – Ecole des Mines de Paris); ancien PDG d’une entreprise edition of the renewal of spécialisée and numerical simulation models pour l’industrie (Transvalor SA), is a single concrete experience of modification numérique numérique appliquée à différent domain.

Il est familier du milieu de la Recherche, ayant été pendant 20 ans directeur de l’association ARMINES , the structure of partner recherche de l’Ecole des Mines (partenariat recherche académique – recherche privée).

C’est bien sûr à titre personel qu’il s’exprime, estimant disposer de l’expérience et de la compétence pour exercer sa raison critique sur l’état de la Science climatique et de son contexte.


[1] John Cook et al: Environmental research papers: Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the scientific literature -The environment. Res. Latvian. 8 024024- 15 05 2013.

[2] Mark Lynas, Benjamin Z Houlton and all: Environmental Research Papers: More than 99% consensus on human-caused climate change in peer-reviewed scientific studies . 19 10 2021.

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